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Un thé vert, en chinois simplifié : 绿茶 ; chinois traditionnel : 綠茶 ; pinyin : lǜchá, et en japonais 緑茶 (ryokucha?) est un thé dont l'oxydation naturelle est rapidement stoppée après la cueillette. Il en résulte un thé non oxydé maximisant ainsi sa teneur en EGCG et autres catéchines. Le thé vert contient également une concentration importante de L-théanine et une concentration de caféine inférieure à celle du thé noir. Une fois infusé, il peut être consommé chaud ou froid.

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Deux manières de préparer du thé vert :
* à gauche, des feuilles thé vert en infusion dans un gaiwan ;
* à droite, un matcha latte.

Thé vert

Pays d’origine Chine
Type Thé
Degré d'alcool
Thé vert
Nom chinois
Chinois traditionnel 綠茶
Chinois simplifié 绿茶
Traduction littérale thé vert
Nom japonais
Kanji 緑茶
Hiragana りょくちゃ

L'arrêt de l'oxydation des feuilles de thé, moment clé dans la production du thé vert, peut être obtenu selon deux méthodes : la méthode chinoise, dans laquelle les feuilles sont chauffées dans des cuves, et la méthode japonaise. Les thés produits selon la méthode japonaise[1] bénéficient d'un arrêt de l'oxydation à la vapeur ce qui préserve davantage les propriétés des feuilles de thé qu'avec la méthode chinoise[2]. Ces thés de qualité se reconnaissent à la couleur foncée de leurs feuilles, à leur odeur d'algues une fois infusés et à leur goût herbacé et iodé. De nombreux producteurs, notamment au Japon[3],[4], se tournent aujourd'hui vers une production de thés verts conforme aux exigences de l'agriculture biologique.

Le thé vert est le thé le plus consommé en Chine, en Corée et au Japon. Il se répand aujourd'hui de plus en plus en Occident, où l'on boit traditionnellement plutôt du thé noir. Les différents terroirs, cultivars utilisés et modes de culture permettent d'obtenir des thés verts très différents. Si le sencha est le thé quotidien des Japonais, lors de la cérémonie du thé japonaise c'est du matcha, une poudre de thé vert broyé, qui est utilisé. Le matcha est désormais incorporé dans des pâtisseries et est l'ingrédient de base du matcha latte et du matcha frappé. Les thés verts les plus prestigieux comme le gyokuro (Japon) ou le Long Jing (Zhejiang, Chine) peuvent atteindre des prix importants sur le marché. Le thé vert intervient également dans la production de thé aromatisé comme le genmaicha qui lui associe du riz ou le gunpowder, qui est l'ingrédient de base du thé à la menthe.


Fabrication


Champs de thé prêt à la récolte. Les ventilateurs servent à l'élimination de la rosée sur les feuilles. Saitama (Japon)
Champs de thé prêt à la récolte. Les ventilateurs servent à l'élimination de la rosée sur les feuilles. Saitama (Japon)

Après la cueillette, les feuilles du théier (Camellia sinensis) sont flétries, puis roulées pour extraire les sucs, puis chauffées afin de neutraliser l'enzyme responsable de l'oxydation. Elles subissent enfin un séchage final. Le chauffage s'effectue selon deux méthodes principales : la méthode chinoise utilise des bassines de cuivre placées sur le feu, alors que les Japonais passent les feuilles à travers des jets de vapeur.


Préparation


Article détaillé : Préparation du thé.

Variétés



Thés chinois


Article connexe : Thé en Chine.

Il existe en Chine des centaines de variétés de thé différentes. Elles reçoivent des noms conventionnels, liés la plupart du temps à la forme des feuilles. Ces dénominations ne sont aucunement des garanties d'authenticité ni de qualité. Les thés les plus connus sont souvent imités. Seuls le sérieux et l'honnêteté du vendeur sont des assurances sur l'origine du thé.

Parmi les thés verts les plus connus, citons :


Thés japonais


Article connexe : Thé au Japon.
Thé vert japonais Sencha
Thé vert japonais Sencha
Thé vert Genmaicha
Thé vert Genmaicha

Le Japon produit essentiellement du thé vert, dans une vaste gamme de prix et de qualité. Les plantations se situent surtout sur les îles de Kyūshū et de Shikoku. Il y a quatre récoltes de thé, s'étalant de la mi-avril à fin septembre. La première (en avril-mai) est la plus recherchée, car elle est réputée produire un thé plus raffiné et moins astringent que les suivantes.


Thés coréens


Feuilles de thé Sejak, Ujeon, et hwangcha (thé jaune)
Feuilles de thé Sejak, Ujeon, et hwangcha (thé jaune)

Les thés verts coréens peuvent être classés suivant différents critères et généralement en fonction de la date de récolte. L'Ujeon est constitué avec des feuilles de la première récolte, le plus souvent avant le 20 avril. Le Sejak est constitué de feuilles de la seconde récolte, environ entre le 20 avril et le 5 mai. Le Jungjak est constitué de feuilles récoltées entre le 5 mai jusqu'à mi-mai et les feuilles récoltées plus tard sont appelées Daejak[5].


Autres thés verts


Avec le succès grandissant des thés verts en Occident, de nombreuses régions du monde se sont mises à en produire : Ceylan, Viêt Nam, Darjeeling. Ces thés sont préparés selon la méthode chinoise, et ressemblent à un Gunpowder ou un Chun Mee. Le thé vert vietnamien (surtout celui du Nord du Vietnam : Chè Thái Nguyên) est très parfumé naturellement. Il se conserve dans un sac hermétique et à l'abri de la lumière pour restituer sa couleur vert émeraude lorsqu'on le prépare à la méthode « chinoise ». Une fois préparé, il faut le boire assez rapidement sinon il perd sa couleur verte. C'est tout un art pour conserver et préparer le thé vert si on veut conserver toutes ses propriétés[réf. nécessaire].

Le thé vert de Thaïlande a vu le jour en 1988 sous l'impulsion de la famille royale de Thaïlande (en). À l'université de Mae Fah Luang (en), dans la province de Chiang Rai se trouve un institut du thé[6] qui a pour vocation l'étude des bienfaits spécifiques du thé vert. La région montagneuse située le long de la frontière de la Birmanie et du Laos est connue sous le nom de triangle d'or et toutes les conditions géologiques et climatologiques sont réunies pour produire d'excellents thés de montagne. Cela contribue au développement durable et au commerce équitable notamment aux tribus Akhas qui vivent sur place. Cette région produit aussi des thés verts Oolong aussi appelés Thés Bleus le no 17 (Première jeune pousse) et le no 12. Ces deux thés sont d'excellente qualité[réf. nécessaire].


Risques pour la santé


Des études ont confirmé qu’à des doses excédant la DJA, les catéchols[7],[8], et principalement l’EGCG (épigallocatéchine-3-gallate), sont hépatotoxiques, c'est-à-dire qu'ils peuvent endommager le foie. Cette DJA a été établie par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) en 2009 à 0,5 mg/kg/j pour l'EGCG[9]. Cette valeur pourrait être dépassée avec une seule infusette de thé vert et, a fortiori, avec des extraits. En effet, des teneurs de 398 à 1 127 mg/l de catéchols totaux dont 117 à 442 mg/l d’EGCG ont été mesurées dans des infusions de thé vert[10].

Néanmoins, chez l’Homme, les quelques études épidémiologiques ne rapportent pas d’effet indésirable notable. En 2018, l'AESA « conclut que les catéchines présentes dans le thé vert [...] sont généralement sans danger. Cependant, lorsqu'elles sont consommées en tant que complément alimentaire, des doses de catéchines supérieures ou égales à 800 mg/jour pourraient susciter des problèmes de santé.»[11]

Quelques cas d’effets graves ont été rapportés parmi les personnes consommant de grandes quantités de thé vert. Les effets jugés les plus graves sont les effets hépatiques. Certaines préparations ou compléments alimentaires à base de thé vert, ont dû être retirés du marché à la suite de telles notifications[12].

Si l'implication des catéchols et plus particulièrement de l'EGCG semble avérée dans la toxicité d'extraits de thé vert in vitro, celle-ci n'est pas forcément directe et le mécanisme en est mal compris. L’influence du jeûne sur les concentrations plasmatiques des diverses catéchines est montrée de manière très significative chez le chien et trouve également une répercussion chez le consommateur de thé vert. En cas de prise à jeun de l’EGCG, les concentrations maximales peuvent être augmentées d’un facteur 5 par rapport à une même dose absorbée en présence d’aliments[13]. Le jeûne augmentant ainsi potentiellement sa toxicité, la pratique de cures d'amaigrissement associant la consommation répétée de thé vert ou de ses extraits à un régime restrictif, semble à déconseiller.

Le thé vert est beaucoup plus riche en catéchols (13 %) que le thé noir qui, après fermentation, n’en renferme que 2 %. Le thé noir ne présente donc pas le même risque hépatotoxique que le thé vert.


Intérêt pour la santé


Les propriétés du thé vert sont multiples : riche en tanins, ce sont ces polyphénols antioxydants qui donnent au thé son arôme et son goût amer particulier. Le thé vert contient également de la vitamine C. Mais ce qui démarque le thé vert des autres, c'est qu'il contient une catéchine nommée épigallocatéchine EPGC ou encore épigallocatéchine-3-gallate (EGCG). L'EPGC possède des propriétés bien plus puissantes que celles d'un simple antioxydant. Le thé vert (vert car non fermenté) contient dix fois plus d'EPGC que le thé noir et 2,5 fois plus que le thé Oolong (type de thé à oxydation incomplète). [réf. souhaitée]

Quant au taux de caféine, il est semblable à celui du thé noir soit 20-90 mg par tasse mais ses effets excitants sont atténués par la présence des tanins. Le thé contient également de la théanine, un acide aminé analogue au glutamate, qui a un effet apaisant qui inhibe l'effet hypertenseur de la caféine[14]. Il est reconnu comme un des composés responsables du goût umami et de la réduction de leur amertume[15],[16]. L’activité de la théanine sur le cerveau a montré une réduction du stress mental et physique[17], un effet relaxant[18] et augmente la production du rythme alpha dans le cerveau[19].

Le thé vert est inscrit à la Pharmacopée française 11e édition où il est défini comme :

"Feuille, jeune, non fermentée, soumise à une dessiccation rapide à chaud, de Camellia sinensis L. Kuntze et ses variétés cultivées.

Teneur : au minimum 2,0 pour cent de caféine (C8H10N4O2, Mr 194,2) (drogue desséchée)."[20]

L'ANSES donne la composition suivante pour le thé vert :


Réduction du stress


Des travaux menés par une équipe japonaise suggèrent que les consommateurs de thé vert ont un niveau de stress moins élevé. Atsushi Hozawa et ses collègues de l'université de Tohoku ont suivi plus de 42 000 Japonais dont plus de 2 774 souffraient de stress psychologique[22].

En regardant de plus près leur consommation de thé vert, les chercheurs se sont aperçus que ceux qui en buvaient entre cinq tasses et plus par jour avaient 20 % de risque en moins de souffrir de stress par rapport à ceux qui en buvaient moins de deux tasses par jour (au Japon, une tasse de thé vert fait 100 ml et est réalisée par une infusion d'en moyenne 1 minute de 5 grammes de thé vert japonais, type Sencha par exemple). Dans cette étude, les personnes qui consommaient le plus de thé vert avaient également un risque de pneumonie diminué de 47 % et de cancer du sang de 42 %.

Enfin, une autre analyse ayant porté sur des sujets de plus de 70 ans, montre une diminution de 44 % du risque de dépression modérée chez les amateurs de thé vert à hauteur de quatre tasses par jour[23]. Il ne s'agit cependant que de corrélations, aucun rapport de cause à effet n'ayant été démontré. Il est possible que les consommateurs de thé vert aient un mode de vie différent qui impactent ces résultats, et rien ne permet de savoir ce qui est dû au thé vert ou au mode de vie de buveur de thé.


Maladies cardiovasculaires


Le thé vert contient un certain nombre de polyphénols, dont l'abondance peut atteindre 20 % de la matière sèche, jouant le rôle d'antioxydant. Plusieurs études semblent démontrer une certaine efficacité de sa consommation dans la diminution du risque de contracter une maladie cardiovasculaire[24]. Il diminuerait également le taux de cholestérol sanguin[25]. Ces antioxydants pourraient être cependant neutralisés par la caséine présente dans le lait[26].


Cancers


Son rôle dans la prévention des cancers est beaucoup plus controversé. Les cultures cellulaires et les modèles animaux montrent que l’épigallocatéchine-3-gallate (EGCG), le principal polyphénol présent dans le thé vert, possède une puissante activité anti-inflammatoire et anti-proliférative capable d’inhiber sélectivement la croissance cellulaire et d’induire l’apoptose dans les cellules cancéreuses sans affecter les cellules normales[27].

Ce seraient les propriétés pro-oxydantes des dérivés galliques du thé vert, en particulier de l'EGCG, responsables à certaines doses de leur hépatotoxicité, mais aussi pro-oxydants sur des lignées cancéreuses qui auraient fait attribuer au thé vert des propriétés anticancéreuses[28], antiradicalaires, mais uniquement sur la base d'extrapolation d'effets observés in vitro. Par contre, l'efficacité réelle est loin d'être prouvée chez l'être humain[29], même s'il est largement utilisé dans cette indication (notamment dans la prévention du cancer du sein au Canada[30]).

Une étude publiée en 2012 tendrait à démontrer que le thé vert, dans une certaine mesure, protégerait les fumeurs du cancer des poumons. Le Dr Lin Hsin-I, de Chung Shan Medical University à Taïwan, et ses collègues ont recruté 170 personnes souffrant de cancer du poumon et 340 patients sains comme témoins. Les participants ont rempli des questionnaires concernant leurs habitudes de vie : le nombre de cigarettes fumées par jour, le nombre de tasses de thé vert consommées par jour, leur apport alimentaire en fruits et de légumes, les modes de cuisson et les antécédents familiaux de cancer du poumon[31]. Les résultats montrent que les fumeurs et les non-fumeurs qui ne boivent pas de thé vert sont cinq fois plus susceptibles de développer un cancer du poumon que ceux qui boivent au moins une tasse de thé vert par jour. Les fumeurs qui ne boivent pas de thé vert sont douze fois plus susceptibles d'être diagnostiqués d'un cancer du poumon que ceux qui boivent au moins une tasse de thé vert par jour[31].


Maladies neuro-dégénératives


Après 70 ans, les buveurs de thé vert, riche en catéchines, ont de meilleures capacités cérébrales que les buveurs de café ou de thé noir et sont « une cible moins fragile pour les maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson »[32][réf. incomplète]. La consommation de thé réduirait le risque d'être atteint de démence et d'autres maladies neuro-dégénératives comme le Parkinson et l'Alzheimer[33][source insuffisante].


Maladies ophtalmiques


En 2010, des chercheurs de l'université chinoise de Hong Kong affirment que le thé vert peut protéger contre les maladies oculaires courantes, comme le glaucome[34]. D'autres études sont nécessaires pour confirmer l'effet protecteur chez les humains[34].


Covid-19


Une étude de novembre 2020 menée par l'université de Caroline du Nord suggère que les polyphénols spécifiques (flavanols et proanthocyanidines) contenus dans Vitis rotundifolia (raisin muscadine), dans le thé vert, dans le cacao et dans le chocolat noir affecteraient la capacité du virus SARS-CoV-2 à se fixer sur les cellules humaines, réduisant ainsi les taux d'infection et de transmission du virus, cause de la Covid-19[35].


Autres utilisations


Consommé avec du curcuma et du poivre noir, le thé vert serait utilisé contre l'obésité[36][source insuffisante].


Commerce


En 2014, la France est nette importatrice de thé vert, d'après les douanes françaises. Le prix à la tonne à l'import était d'environ 5 700 [37].


Galerie de photos



Notes et références


  1. Il s'agit là de « méthode japonaise » et non nécessairement de thé japonais. Ainsi un thé Sencha chinois peut être commercialisé sous l'appellation « méthode japonaise » bien qu'il ne soit pas produit au Japon
  2. Béliveau R., Gingras D. Les aliments contre le cancer. Outremont: Éditions du Trécarré, Quebecor Media; 2005.
  3. Arte.tv - Reportage 360°-Géo - Japon, la voie du thé (52 minutes)
  4. 1001 tasses - Thé vert japonais biologique issu de petits producteurs
  5. « Korean Green Tea - The health benefits and history », sur www.easykoreanfood.com (consulté le ).
  6. Site du Tea Institute de l'université Mae Fah Luang
  7. Po C. Chan, Yuval Ramot, David E. Malarkey et Pamela Blackshear, « Fourteen-week toxicity study of green tea extract in rats and mice », Toxicologic Pathology, vol. 38, no 7, , p. 1070–1084 (ISSN 1533-1601, PMID 20884815, PMCID PMC3175604, DOI 10.1177/0192623310382437, lire en ligne, consulté le ).
  8. Giuseppe Galati, Alison Lin, Amira M. Sultan et Peter J. O'Brien, « Cellular and in vivo hepatotoxicity caused by green tea phenolic acids and catechins », Free Radical Biology & Medicine, vol. 40, no 4, , p. 570–580 (ISSN 0891-5849, PMID 16458187, DOI 10.1016/j.freeradbiomed.2005.09.014, lire en ligne, consulté le ).
  9. (en) EFSA Scientific Cooperation (ESCO) Working Group on Botanicals and Botanical Preparations, « ESCO report: Advice on the EFSA guidance document for the safety assessment of botanicals and botanical preparations intended for use as food supplements, based on real case studies », EFSA Supporting Publications, vol. 6, no 6, , n/a–n/a (ISSN 2397-8325, DOI 10.2903/j.efsa.2009.280, lire en ligne, consulté le ).
  10. Márcia Reto, Maria Eduardo Figueira, Helder Mota Filipe et Cristina M. M. Almeida, « Chemical composition of green tea (Camellia sinensis) infusions commercialized in Portugal », Plant Foods for Human Nutrition (Dordrecht, Netherlands), vol. 62, no 4, , p. 139–144 (ISSN 0921-9668, PMID 17899383, DOI 10.1007/s11130-007-0054-8, lire en ligne, consulté le ).
  11. L'EFSA évalue la sécurité des catéchines dans le thé vert, EFSA, 18 avril 2018.
  12. Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), « Avis relatif à la sécurité d'emploi des préparations de thé vert », Avis de l'ANSES, (lire en ligne).
  13. H.-H. Sherry Chow, Iman A. Hakim, Donna R. Vining et James A. Crowell, « Effects of dosing condition on the oral bioavailability of green tea catechins after single-dose administration of Polyphenon E in healthy individuals », Clinical Cancer Research: An Official Journal of the American Association for Cancer Research, vol. 11, no 12, , p. 4627–4633 (ISSN 1078-0432, PMID 15958649, DOI 10.1158/1078-0432.CCR-04-2549, lire en ligne, consulté le ).
  14. PJ. Rogers, JE. Smith, SV. Heatherley et CW. Pleydell-Pearce, « Time for tea: mood, blood pressure and cognitive performance effects of caffeine and theanine administered alone and together. », Psychopharmacology (Berl), vol. 195, no 4, , p. 569-77 (PMID 17891480, DOI 10.1007/s00213-007-0938-1).
  15. (en) S Dharmananda, « Amino acid supplements IV: theanine », (consulté le ).
  16. (en) S Kaneko, K Kumazawa, H Masuda, A Henze and T Hofmann (2006) Molecular and Sensory Studies on the Umami Taste of Japanese Green Tea. J. Agric. Food Chem., 54 (7), 2688 -2694, 2006. DOI 10.1021/jf0525232 S0021-8561(05)02523-9.
  17. (en) Kimura K, Ozeki M, Juneja L, Ohira H, « L-Theanine reduces psychological and physiological stress responses », Biol Psychol, vol. 74, no 1, , p. 39-45 (PMID 16930802).
  18. (en) Lu K, Gray M, Oliver C, Liley D, Harrison B, Bartholomeusz C, Phan K, Nathan P, « The acute effects of L-theanine in comparison with alprazolam on anticipatory anxiety in humans », Hum Psychopharmacol, vol. 19, no 7, , p. 457-65 (PMID 15378679).
  19. (en) Gomez-Ramirez M, « The Deployment of Intersensory Selective Attention: A High-density Electrical Mapping Study of the Effects of Theanine », Clinical Neuropharmacoly, vol. 30, no 1, , p. 25-38 (PMID 17272967).
  20. « Pharmacopée française - Plan / Préambule /index - ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé », sur ansm.sante.fr (consulté le ).
  21. Avis de l'ANSES relatif à la sécurité d'emploi des préparations à base de thé vert (17 décembre 2012)
  22. (en) Green Tea Consumption and Mortality Due to Cardiovascular Disease, Cancer, and All Causes in Japan , S Kuriyama, T Shimazu, K Ohmori, N Kikuchi, N Nakaya, Y Nishino, Y Tsubono, I Tsuji, JAMA. 2006;296:1255-1265.
  23. Maron DJ, Lu GP, Cai NS, Wu ZG, Li YH, Chen H et als. Cholesterol-lowering effect of a theaflavin-enriched green tea extract: a randomized controlled trial, Arch Int Med, 2003;163:1448-53
  24. Lorenz M, Jochmann N et als. Addition of milk prevents vascular protective effects of tea, Eur Heart J, 2007:28:219-223
  25. Syed DN et coll. “Green tea polyphenol EGCG suppresses cigarette smoke condensate-induced NF-kappaB activation in normal human bronchial epithelial cells.” Oncogene 2007 ; 26 (5) : 673-82
  26. Joshua D. Lambert, Shengmin Sang et Chung S. Yang, « Possible Controversy over Dietary Polyphenols:  Benefits vs Risks », Chemical Research in Toxicology, vol. 20, no 4, , p. 583–585 (ISSN 0893-228X, DOI 10.1021/tx7000515, lire en ligne, consulté le ).
  27. Boehm K, Borrelli F, Ernst E, Habacher G, Hung SK, Milazzo S, Horneber M, Green tea (Camellia sinensis) for the prevention of cancer, Cochrane Database of Systematic Reviews, 2009, Issue 3. Art. No.: CD005004. DOI: 10.1002/14651858.CD005004.pub2
  28. Boon HS, Olatunde F, Zick SM, Trends in complementary/alternative medicine use by breast cancer survivors: comparing survey data from 1998 and 2005, BioMed Central Womens Health, 2007;7:1-7
  29. Lin I-H, Ho M-L, Chen H-Y, Lee H-S, Huang C-C, et al. (2012), Smoking, Green Tea Consumption, Genetic Polymorphisms in the Insulin-Like Growth Factors and Lung Cancer Risk. PLoS ONE 7(2): e30951. doi:10.1371/journal.pone.0030951
  30. American Journal of Clinical Nutrition, 2006
  31. Le thé qui soigne. Article du Journal de Montréal paru le 16 janvier 2008
  32. (en) Kai On Chu et al (2010) "Green Tea Catechins and Their Oxidative Protection in the Rat Eye.". J. Agric. Food Chem., 58 (3), 1523-1534, 2010. DOI 10.1021/jf9032602.
  33. (en) Yue Zhu et De-Yu Xie, « Docking Characterization and in vitro Inhibitory Activity of Flavan-3-ols and Dimeric Proanthocyanidins Against the Main Protease Activity of SARS-Cov-2 », Frontiers in Plant Science, (DOI 10.3389/fpls.2020.601316, lire en ligne, consulté le ).
  34. AGRIPO, « Thé vert au curcuma », sur agripo.net (consulté le ).
  35. « Indicateur des échanges import/export », sur Direction générale des douanes. Indiquer NC8=09021000 (consulté le ).

Voir aussi


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Articles connexes



Bibliographie



Généralités sur le thé


Articles sur le thé vert


Lien externe



На других языках


[en] Green tea

Green tea is a type of tea that is made from Camellia sinensis leaves and buds that have not undergone the same withering and oxidation process which is used to make oolong teas and black teas.[1] Green tea originated in China, and since then its production and manufacture has spread to other countries in East Asia.
- [fr] Thé vert

[ru] Зелёный чай

Зелёный чай — чай, подвергнутый минимальной ферментации (окислению).



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